Nuit épouvantable au retour de Berlin. La fatigue accumulée au volant pèse sur le corps. S’y ajoute le bruit vulgaire que produit dans la rue un chœur désaccordé d’imbéciles à qui a été enseigné l’art de se défouler sur commande les vendredis et samedis. Ce n’est pas tant la nuisance brute qui me gâte le sommeil que la vie qu’elle implique durant la semaine.