Si la ville était considérée comme un organisme anthropophage

Si la ville était con­sid­érée comme un organ­isme anthro­pophage dont la crois­sance est fonc­tion du nom­bre d’in­di­vidus sac­ri­fiés, on expli­querait mieux le déplace­ment des pop­u­la­tions rurales vers les cen­tres puis, ce déséquili­bre approchant le point de rup­ture, l’ou­ver­ture de couloirs human­i­taires per­me­t­tant d’a­chem­iner les forces vives du tiers-monde vers le Nord.