Rue du Criblet

Rue du Criblet, brail­lards adossés aux immeubles dès la nuit. Toi aus­si tu cri­ais quand tu étais jeune, me reproche Gala. D’ailleurs, lui dis-je, hier encore j’é­coutais Con­verge, à la fois éton­né et ravi de ce que l’on puisse garder à quar­ante ans une telle rage, avant de décider à part soi: rien de com­mun entre les cris motivés du hard­core qui représen­tent une cri­tique du social par un retour con­scient au prim­i­tif et cette dépense d’én­ergie en pure perte qui évoque le rat pris au piège du labyrinthe.