Les marins du Victoria

Les marins du Vic­to­ria, l’un des vais­seaux de Mag­el­lan, cou­vrent de cadeaux le Pata­gon puis, s’av­isant que Charles Quint leur a ordon­né de ramen­er des spéci­mens à Séville, déci­dent de le cap­tur­er. Ils prof­i­tent de la con­fi­ance gag­née en trois jours pour lui charg­er les mains de col­ifichets et, au moment où il veut quit­ter le bord, lui passent un dernier jou­et autour des chevilles, des entrav­es. Duplic­ité de l’homme blanc qui le rend étranger à la morale supérieure qui, dans cette affaire, est du côté du sauvage: celui-ci, une fois accordée sa con­fi­ance, ne saurait la recon­sid­ér­er par intérêt.