C’est parce qu’il n’y a rien à faire que j’agis sans relâche. La situation est à ce point que se débattre (en soi et contre soi, les lois ayant confisqué l’honneur) est le seul moyen de se sentir vivant, ceci au détriment de la poursuite intérieure qu’autoriserait une position morale accueillant une juste recherche du bonheur.