Dans un monde paci­fié Dieu est la lim­ite qui ouvre à l’homme son champ d’ex­pan­sion, mais le principe acquis de la mécan­i­sa­tion du pro­grès et de son con­trôle par la seule volon­té rabat l’homme sur le présent qui dès lors lutte éper­du­ment pour rem­plac­er le champ du réel par un sec­ond champ du réel puis par un troisième et ain­si, à l’in­fi­ni. Bien­tôt épuisé mais niant par orgueil son épuise­ment il n’a plus qu’un souhait, déclencher la cat­a­stro­phe qui met­tra fin à son règne sur les choses.