Deux droites; l’une républicaine et technicienne, désireuse de favoriser sur une base libérale les intérêts de la moyenne et grande bourgeoisie, l’autre nationale, sceptique devant la Démocratie, fondant le projet politique sur la notion d’héritage partagé, tradition, langue et valeurs. A ces deux droites identifiées, il conviendrait d’en ajouter une troisième, dévoyée et nihiliste, celle que représentent hors toute formation partisane les lobbys néo-libéraux et leurs institutions (banques, banques centrales, organisations internationales).