Mes opin­ions braque­nt les inter­locu­teurs. Si je les tais l’e­sprit me pèse, si je les dis je perds des amis et bien­tôt n’en aurai plus. Et si je les cla­mais ces opin­ions? Les voix extérieures ral­lient des suf­frages parce qu’elles ont extérieures. Mais le risque existe qu’on vous brusque alors dans une posi­tion de pou­voir. Le pou­voir, cette aberration.