Sans cesse, au lit surtout, je pré­pare la suite des événe­ments, pose les obsta­cles, les mesure, change leurs posi­tions. Je me crois aux com­man­des. Autre­fois dans cet exer­ci­ce je chevauchais le temps sans un doute. C’est de la vie que je dis­po­sais, et par pans entiers. Désor­mais je ne prévois qu’à échéance d’une semaine voire de quelques jours.