Petit déje­uner à qua­tre heures du matin dans un restau­rant du rez de chaussée au milieu des machines à sous. Les salles capi­ton­nées n’ont pas de fenêtres, la musique est con­stante, notre serveuse incar­ne une star des années 50. Des mex­i­cains et des slaves par­mi le per­son­nel. Nour­ri­t­ure à la con­sis­tance proche du morti­er. Je com­mande un expres­so, “Ana Dominguez” m’ap­porte un demi-litre de café clair. En face du restau­rant, sur le tapis, une Corvette “à gagner”.