Rien d’étonnant à ce que la logique du conflit brûle les planches. Et le plancher des vaches sur lequel se meut toute une partie mal réveillée de la population qui aimerait croire que les actualités télévisée modifient un horizon qu’il pourront contempler de loin sans réserve et sans mouiller leur culotte. Les capitalistes outranciers ont réussi ce tour de force, infuser leur morale dans les gestes et les paroles minimes des bonnes gens qui se demandent si pleurer, sourire, crier est encore permis et s’en trouvent plus démunis qu’un nouveau-né.