La Suisse élit un représentant qui lui ressemble, c’est-à-dire sans compétence politique ni capacité à gouverner.Cette relation entre des sans-statuts est fondée dans l’histoire des Waldstätten. Pas de hiérarchie (les Habsbourg partent faire foirtune à l’étranger), de la pragmatique. Ainsi le gouvernement devrait s’abstenir de donner de la voix dans le concert des antions. La dérive actuelle est le résultat de la vanité d’un personnel piégé par la mondialisation. La Suisse pourrait être envisagé comme un modèle universel à ne pas suivre.