Seul, oisif, et tou­jours voisin du dan­ger, l’homme sauvage doit aimer à dormir, et avoir le som­meil léger comme les ani­maux, qui, pen­sant peu, dor­ment, pour ain­si dire, tout le temps qu’ils ne pensent point. (Rousseau, Dis­cours sur l’o­rig­ine et les fonde­ments de l’iné­gal­ité par­mi les hommes)