Et le lende­main au Musée des colonies — appelons ain­si le Cen­tre nation­al de l’im­mi­gra­tion, lequel organ­ise une expo­si­tion sur le “foot­ball et l’in­té­gra­tion”. Lec­ture des Suiss­es cette fois. Plaisant, intéres­sant, une lec­ture. Je lis mal, du moins c’est mon impres­sion, pas à l’aise. La bataille de St-Eustache, voilà ce que je lis. L’opéra­tion dure une heure, peut-être plus, met­tons deux, et puis sans tran­si­tion nosu allons ren­dre vis­ite aux croc­o­diles qui nagent dans la fos­se en sous-sol du musée. Et les écrivains s’at­tar­dent. Ils plon­gent la tête dans les aquar­i­ums à pois­son, com­mentent les formes et les couleurs des pois­sons. Sur quoi pour­rait-on enchaîn­er, en con­tin­u­ant sur ce principe? Un saut à l’élastique?