Le bipar­tisme est le plus mau­vais des sys­tèmes. Il dépos­sède le citoyen de son imag­i­na­tion con­tes­ta­trice sans représen­ter adéquate­ment ses objec­tifs. Dans un sys­tème fer­mé, de par­ti unique, la con­tes­ta­tion est irré­ductible; dans un sys­tème mul­ti­par­tite, elle s’ex­erce à tra­vers le débat, l’en­tente entre les par­tis étant improbable.