Mais le meilleur est à la fin. La cloche sonne, il faut quit­ter le salon. Ce que nous faisons à pied, jusqu’aux caiss­es automa­tisées où je paie le park­ing, puis ten­tons de faire en voiture, sur plusieurs étages sig­nal­isés, fléchés, peints, enruban­nés et policés, sans com­pren­dre les flèch­es, les signes, les étages ni la direc­tion de sorte qu’il y a bien­tôt un cortège de qua­tre, de cinq voitures aux occu­pants énervés et hilares qui enfon­cent leur klax­ons pour faire appraître la sortie.