La machine à écrire de la dacty­lo avait des touch­es blo­quées et en dépit des remon­trances des malades con­finés dans la salle d’at­tente, elle refu­sait de l’ad­met­tre. Les états des uns et des autres se dégradaient, la dacty­lo ne finis­sait pas de rem­plir des fich­es d’ad­mis­sion en clin­ique qui n’é­taient jamais trans­mis­es à la hiérar­chie. Puis elle tom­ba en dépres­sion. Elle mit cepen­dant un point d’hon­neur à venir tra­vailler chaque jour et ne s’en lais­sa pas con­ter : sa machine fonc­tion­nait comme au pre­mier jour.