Ce qu’on admet pas, c’est qu’il n’y a rien à faire. La con­di­tion s’améliore — sans fin. La frus­tra­tion demeure. Hon­or­er la vie, c’est ça — vivre. Le mal vient de la représen­ta­tion de la fin. Plutôt, de cette incon­gruité: un état final et vivant.