Disais-je à Evola, heureux dans sa caravane, près de la rivière, survolé des aigles et seul, toujours seul, j’ai été contraint de vivre comme un riche par le riche Toldo au Mexique, contraint de vivre comme un pauvre par le pauvre LM en Colombie et me trouve bien, le cul entre deux chaises, libre de me lever quand je le veux pour rejoindre l’un ou l’autre, sans avoir à sacrifier la liberté pour l’argent ni la perdre faute d’argent.