Violence

La vio­lence du fou n’est pas la vio­lence du révolté qui n’est pas la vio­lence du vio­lent. Le fou se déchaîne parce qu’il se pense enchaîné. Le révolté se bat parce qu’il est opprimé. Le vio­lent, lui, prémédite ses actes et opère par cal­cul. Il est le fac­teur de vio­lence quand le fou et le révolté en sont les effets.