Partir de ce que l’on a. Non pas reçu mais fait. Fait à partir de ce que l’on a reçu (pour moi, l’éducation). Ce partir et re-partir fondement et dépassement de chaque moment de l’existence. Nous ne sommes ni un peuple de la méditation ni un peuple de la station. Qu’ils portent ou ne portent pas leurs fruits, c’est à l’aune de l’effort et de la conquête de soi que nous mesurons nos vies.