La troisième révolution industrielle, celle de l’informatique, aura permis d’achever le déport de la force de l’homme vers la machine en centralisant les commandes de contrôle des machines lourdes dans une machine légère, l’ordinateur. Désormais nous sommes entourés de prothèses mécaniques, certaines nanométriques (puces), d’autres gigantesques (usines). A l’occasion de la révolution prochaine, celle de l’autonomisation complète du parc des machines, il se pourrait que la lutte nécessaire, la lutte pour la survie de l’homme au milieu des machines, nous oblige à rapatrier la force dans les corps de chair et de sang.