Nocturne

Rêves d’épou­vante. Hommes et femmes, qui m’ap­proche a le crâne fendu et dévide des vers. Les créa­tures frétil­lent au sol. Pas de peur, je n’ai pas peur. Est-ce que je rêve? Je ne sais pas. Prêt, je suis prêt. Voyez, je ferai face au pire. Pas croy­ant. Et prêt. Pas intéressé. Toute­fois je m’é­tonne, que se pro­duit-il dans cette chair, pourquoi son éclate­ment, sa dis­per­sion, pourquoi cette horreur?