Retrouvé ce soir au téléphone (après un an de silence) la gentille Olofso, mère de mes enfants. Elle n’a pas voulu apparaître à l’écran, l’échange est demeuré, comme il était au siècle dernier, oral. Ce monde pacifié et plein d’inertie qui butte sur des drames comme si la trajectoire était fatale toujours m’étonnera.