Planté un parterre de patates. La terre est grasse et lourde. J’hésite entre la pioche et le sarcloir. La pelle carré convient mieux. Les deux pieds sur le fer, j’enfonce. Puis je tire contre le buste. Attention à ne pas casser le manche. Ensuite, il faut casser les mottes. Pour se faciliter la tâche, mouiller. Malgré nos efforts pour remonter à la source, nettoyer la prise, le bec de robinet donne peu d’eau. Depuis hier, elle n’arrive plus au jardin. Nous remplissons des arrosoirs. Une sortie à vélo de 80 kilomètres est moins fatigante qu’un sac de pousses à mettre en terre.