Chaque année je vois reparaître lors des fêtes du village les mêmes figures. Ceux qui portaient beau dans l’énergie des premières ressources ont senti peser le destin. Chargés, ils baladent des visages moins amènes, des corps tremblés. Bientôt le fardeau les pliera. Le voûté pris ils ne seront plus à hauteur d’horizon et irons ainsi sur un chemin qu’ils ne s’étaient pas tracé, aimant sans aimer, se prévalant du devoir et de la famille et de la nécessité. Une société, c’est cela, personne ne la souhaite, chacun la produit.