Ce soir au téléphone, je faisais valoir auprès d’Aplo que parfois pendant dix minutes je cesse de remuer. Ou plutôt de faire. Je cesse de « faire ». Enfin j’essaie. Car je ne tiens pas deux minutes. Le vide apparaît, je le comble. Cela fatigue. Immense chantier, dont j’ignore la raison et le but, qui nous fait ouvrier de nos jours.