Pendant toute la promenade de Zihuatanejo cette femme me parlait et me parlait et j’imaginais bien ce qu’elle voulait, que l’on s’entendit pour ensuite utiliser nos corps, au soleil, au moins le temps des vacances. Or, je n’avais qu’une question en tête: “existe-t-il des formes géométriques rigoureuses dans la nature?” et demeurait à l’aller comme au retour silencieux pour enfin, de retour à l’hôtel, lui poser la question comme si tel était le but de la promenade: “et toi, qu’en penses-tu?”.