1986

Pen­dant toute la prom­e­nade de Zihu­atane­jo cette femme me par­lait et me par­lait et j’imag­i­nais bien ce qu’elle voulait, que l’on s’en­ten­dit pour ensuite utilis­er nos corps, au soleil, au moins le temps des vacances. Or, je n’avais qu’une ques­tion en tête: “existe-t-il des formes géométriques rigoureuses dans la nature?” et demeu­rait à l’aller comme au retour silen­cieux pour enfin, de retour à l’hô­tel, lui pos­er la ques­tion comme si tel était le but de la prom­e­nade: “et toi, qu’en penses-tu?”.