Je monte sur la planche, je glisse et je tombe. Pour cause, je n’ai pas ciré la surface. Pire, j’ai demandé au vendeur du mini longboard de racler la vieille cire (pour raison esthétique). La Lucernoise me prête son puck de sex-wax. Je retourne dans les vagues. Ah oui, ça va déjà mieux! Et puis l’eau est claire, le sable visible dans la profondeur, le soleil moins timide. A la fin de la séance, j’ai réussi quatre surfs. Encore dix ans de pratique et je devrais pouvoir dire : “je fais du surf”.