Ami de Lausanne, je le connais depuis quarante ans, il me confie ne plus se reconnaître dans ce “bric-à-brac informatisé” et “mortifère”. J’ai fui. Chaque jour je m’en félicite. Silence, eau, forêt, à distance des villes verrouillées, à distance du grand appareil malade — qui nous rend malade.