Un centaine de bateaux sont garés dans la Marina au-dessous du balcon où je lis. Des voiliers, des yachts, des petits croiseurs. Les plus imposants ont leur piscine et leur voiture embarquée, mais les promeneurs s’arrêtent avec admiration devant celui qui est monté de trois moteurs en ligne gros comme des baignoires et de désigner les moteurs, la main sur la bouche, en hochant la tête, l’air ravi.