Couché à vingt heures. Douleur constante. Artère sous pression, respiration rapide. Impossible de fermer l’œil. La douleur augmente. Tête dans l’étau, bras qui tremble. A deux heures du matin, je me lève pour aller dire à Monpère d’appeler une ambulance. Je m’évanouis. La douleur devenue trop forte le cerveau s’est arrêté. Quand je reprends mes esprits, je suis au sol. A quatre pattes, retour dans le lit. Monpère et Nara me veillent. Verre d’eau, spray de secours. Encore deux heures d’insomnie. Je m’endors. Le matin, office de change du Petit-Chêne, achat d’une palette de bière et départ en voiture pour la Côte-d’Azur.