Ville blanche

Vue aéri­enne de Cadix aux quartiers inondés de lumière. Dans mon rêve, je m’ex­clame: “mag­nifique, il n’y a per­son­ne! C’est là que je veux vivre!”. Par télé­phone, je racon­te la scène à Gala. Elle objecte: “cela te passera” et enchaîne une fois encore sur le par­age que j’ai choisi, au pied des Pyrénées, nulle part, où l’on ne peut — selon elle — imag­in­er vivre plus de quinze jours par an.