“Nous n’avons jamais vu où ils finissent, mais nous sentons la présence maligne des barbelés qui nous tiennent séparés du monde. Et sur les échafaudages, sur les trains en manœuvre, sur les routes, dans les tranchées, dans les bureaux, des hommes et des hommes, des esclaves et des maîtres, et les maîtres eux-mêmes esclaves; la peur gouverne les uns, la haine les autres; tout autre sentiment a disparu. Chacun est à chacun un ennemi ou un rival.” Si c’est un homme, p. 59.