Un comité de salut public, soit une réunion d’hommes de bon sens préconisant des remèdes politiques à l’attention de ses concitoyens, distinguerait d’abord entre le changement qui est naturel, l’évolution qui est imparable, le progrès qui est souhaitable et le progrès qui ne l’est pas, celui qui devenu religion se propose comme la valeur première et unique.