Si la violence est toujours égale, elle n’est pas toujours également distribuée. Aujourd’hui, elle est le fait des parties fondamentales du peuple, essentiellement des énergumènes pris sur les stocks du tiers-monde et des élites rompues à l’administration de leurs égoïsmes, élites plus que natives, endo-génétiques. La partie moyenne de la société, celle qui vaut squelette et tient le corps, est sans violence. Elle est donc à la merci de ces mâchoires que composent de manière calculée les deux formes antérieures de la violence.