Critique d’Etienne Dumont dans le numéro du Bilan paru hier. D’abord j’aime beaucoup cet homme, en tout exceptionnel, ensuite j’aime qu’il dise du bien de mon livre Naypyidaw, publié en 2021 à Paris chez B2 éditions et que je n’ai toujours pas tenu entre mes mains. J’aime, parce qu’il est frustrant, après s’être passionné pour cette capitale unique (trois voyages en Birmanie avec en tête un propos d’exploration) de se faire bâillonner sur la ligne d’arrivée (diffusion nulle) par un parisien mauvais gestionnaire. Mais encore, j’apprécie sans mesure ce pouvoir — spéculatif peut-être — que m’impute le journaliste d’ ”apparaître et de disparaître” qui est, comme j’espère l’avoir fait entendre à travers notes et textes, une de mes ambitions de vivant.