Mauvais rêve dont les effets se font ressentir jusqu’à midi. Dans une salle de cinéma, où je prends place avec Evola; le film à peine commencé, mon ami se lève et passe devant l’écran pour haranguer les spectateurs. Honteux, je le rappelle à l’ordre. La directrice fait son apparition. “Police!”, crie-t-elle. Un Noir entre, attrape Evola par le collet, la lutte s’engage. Le Noir a le dessus. Il embrasse plusieurs fois Evola dans le cou pour lui transmettre le virus. Tous deux sortent. La directrice rallume la salle, fait signe au public: “la séance est finie!”. Le public prend la file, s’en va. Je m’insurge: “on ne coupe pas ainsi un film, c’est un scandale, vous n’avez pas la moindre idée de ce qu’est l’art, vous manquez de générosité!”.