Passé un cap. C’est “non”. A toutes les questions: “non”. Nos réserves sont immenses. Notre personne et notre force sont seules importantes. Que la vague s’abatte, le mot d’ordre est: debout! Espace, décision, liberté, affirmation: rien de ce qui peut contrarier le projet premier du vivant n’aura droit de cité dans mes considérations à venir. La faiblesse maladive de ceux qui croient bien faire en baissant la tête (tête: élément distinctif dans le règne animal) est une faiblesse coupable, elle coopte dans les rôles les plus néfastes des néfastes qui sont, psychologiquement et structurellement, les hommes les plus malsains qu’ait jamais produit au terme de son développement une civilisation. Ceux-là profitent maladivement de l’effondrement qu’ils ont contribué à organiser. Ils tentent de demeurer, contre nous, dans leur vie dégénérée. Ne pas laisser faire. Du matin au soir, à chaque minute, sur son territoire intime, ne pas se laisser faire.