Ce qui rend aussi les gens fous c’est de ne plus avoir d’enfants. Autrefois, on transmettait la folie avec l’amour. L’enfant était une prolongation de la prière. Le vide amadoué, le corps tenait devant le néant. Aujourd’hui on garde ce poids de folie sur ses épaules et la fatigue aidant l’esprit est empoisonné.