Plus besoin d’amis, d’amour, de Dieu. L’individu est maître des transformations. Il surmodifie le corps et l’esprit. Au moyen d’outils psychiques et techniques, il cherche à atteindre à chaque instant la jouissance la complète. Dynamique et obsessionnel, ce régime est nécessairement solitaire. L’homme est une entreprise qui produit du surhumain (et du sous-humain). Gageons qu’une fois atteinte la limite des possibilités de transformation, l’individu transhumaniste ressemblera à ces usines abandonnées des ex-pays communistes.