Nuit…

…d’épou­vante. Deux heures d’in­som­nie puis l’en­dormisse­ment. Une femme en noir attaque, je riposte à coups de feu, me réveille — j’ai dor­mi deux min­utes (véri­fié sur la pro­jec­tion d’hor­loge dig­i­tale au pla­fond). Me ren­dors, hurle “maman!”, me réveille. A nou­veau deux min­utes. Cela qua­tre fois con­séc­u­tives. Puis deux fois, je hurle “papa!”. Là encore, deux min­utes. Moi qui pré­tend tiss­er des liens entre le diurne et le noc­turne, je suis démuni.