Aux écrivains qui participent au Salon du livre en ligne. Qu’ils n’écrivent plus jamais, rien, puisqu’il n’osent pas dire, pas contester, pas sortir d’eux-mêmes, puisqu’ils ne savent que baisser la tête pour recevoir le licou et jugent pouvoir être et devenir, et être entendus dans les conditions actuelles, c’est à dire futures. Honte!