La prière est la reconnaissance de ce qui est. Un désespoir et une force. Devant ce monde qui tombe, la présence affirmée des forces vitales. Le refus des outils qui blessent la majesté humaine, l’unique. Ceci n’est pas religieux — sauf à considérer que tout l’est. Or, c’est sans doute la négation du principe religieux dans l’homme qui conduit ces jours quelques égarés à reconditionner avec un tel mépris, une telle lâcheté et pareille faiblesse opérante l’homme occidental.