Ce que montre cette affaire générale, ce malheur grandiose qui s’abat sur nos sociétés, lesquelles allaient d’un train ronflant et ne doutaient pas de la trajectoire, c’est qu’il n’y a aucun sens à survivre pour survivre, et moins encore dans la version hollywoodienne du “loup solitaire”. C’est vivre qu’il faut. Bouillir, remuer, refroidir, être et n’être pas dans son assiette, se laisser propulser et ralentir, être mené, ne pas être malmené. Cela n’est possible qu’au sein d’une communauté et c’est exactement ce que la technologie tente de liquider.