Retrouvé le col de la Furka que j’ai franchi à vélo le 14 septembre. La neige voltige, il fait deux degrés. Sur la descente, je gare la voiture devant cette “grotte bleue” dont j’ai parlé dans Trois divagations sur le Mont Arto (ce que j’en disais, je l’ai oublié, mais je n’ai pas oublié ma déception). Nous grimpons jusqu’au kiosque, là où se trouve le tourniquet qui barre l’accès au glacier. Je passe par le côté, le terrain est libre. Luv me suit. L’employé nous rattrape: “pour regarder, il faut payer”.