NRF-1990

Ces dernières nuits, lec­ture en pas­sant, avant que d’étein­dre, de la revue de la NRF à laque­lle j’é­tais abon­né l’an­née de mes vingt ans. Il y aurait à dire. Pas que du mau­vais. Mais il y a Hen­ri Thomas. Honte de ce qu’il écrit, et même pitié. Pitié pour la littérature.