Ces quotidiens papiers, en pleine déconfiture. Journalistes? Des trainards. Personne ne veut en être. Payés? Oui. Plutôt bien, les lobbies de finance pourvoient. Subventionnés? Oui. Par les Etats, comme toujours friands de porte-voix. Mais cela se sait. Donc les quotidiens papiers ne font plus recette. Pas même auprès du peuple. Non content, privé de possibilités par des chefs aux ordres, le petit personnel des quotidiens papiers sabre le seul modèle viable, la diffusion numérique. Désormais accessible aux seuls abonnés payants. Que la tricherie fonctionnelle une fois dénoncée n’intéresse plus, cela se conçoit. Lui restait cette utilité: aider au contournement des informations manipulées.