À mes corrections de Notr Pays, tel un acharné; combien de temps cela va-t-il durer ? La semaine dernière, après 32 jours de relecture, je lis à la dernière page, “Axarquie, 24 mai 2017” — puisque je note selon l’habitude le lieu où je finis un manuscrit. Mais celui-là est sans fin. Mauvais signe. D’abord, parce que je refuse de croire qu’il ne peut être sauvé et m’efforce. Le roman était et me demeure étranger. Pari relevé, dès lundi prochain j’écrirai à main levée OM (le texte qui précédera TM, publié en novembre), le regard fixe, sans fatigue ni angoisse (du moins le jour) avec pour horizon le point d’accueil et le repos, et cependant, je ne sais pas, je ne sais rien, pas la première ligne de ce que je dirai, mais je vois.