Je ne vivrai plus dans un endroit où les gens qui me croisent, me parlent, disent avoir confiance, n’ont ni nom ni prénom ni situation. Qui s’avance n’existe que s’il s’affirme — début d’une relation morale. Les villes-machines nient ce principe. Or, d’une architecture carcérale rien ne peut sortir de bon. La génération à venir aura à recréer pour la société des marges où héberger et refaire l’homme.